Vous avez vu, je vous avais promis d'accélérer la mise en ligne des photos.
Pour ce troisième album, je vous propose d'embarquer dans notre Lincoln Town Car et de découvrir la province de Québec.
Cette première partie est consacrée à notre voyage sur la rive sud du fleuve St Laurent. La vallée de la Matapédia ainsi que notre escale gaspésienne à Percé feront chacun l'objet d'un album particulier.

Vous êtes prêts ?.... en voiture ! Le voyage commence ici ou en cliquant sur la vignette dans la colonne de gauche.

On va essayer d'accélérer le rythme de parution. Bon ça ne devrait pas être trop compliqué maintenant que l'ami Antoine m'a montré un truc pour reformater plusieurs photos d'un coup.
Donc ! Deuxième album consacré lui à la ville de Québec que nous avons relié depuis Montréal par bus.

Comme d'hab, il est accessible ici, ou en cliquant sur la vignette dans la colonne de gauche.

Régalez vous les yeux, vous n'avez encore rien vu !

Hop ! Un peu de tri parmi les nombreuses photos que nous avons ramenées et voici comme promis le premier de nos albums photos.
Il est consacré à la ville de Montréal, notre première étape canadienne.

Pour y accéder, cliquer sur la vignette dans la colonne de gauche ou bien ici.

Vos commentaires sont toujours les bienvenus.

Les meilleures choses ont une fin, nous sommes donc rentrés, pleins de souvenirs et d'histoires de voyage à raconter ...

Un grand merci pour vos commentaires. D'abord, ils nous confirment que le blog est lu, ce qui est sympa pour nous, et puis, quel plaisir de vous lire et d'échanger - un peu - avec vous ! C'est cet échange qui nous a donné l'impression d'être avec vous sur les routes canadiennes et de partager (presque) en direct nos émerveillements et découvertes ...

Quant aux cartes postales ... Oui, je sais, rien ne vaut ce petit rectangle cartonné, illustré d'une photo un peu moche au recto, gribouillé de deux phrases banales au verso, écorné sur les bords, et décoré en haut à droite d'une jolie vignette colorée et tamponnée d'encre, que l'on reçoit soi-même-personnellement-à son domicile et qui décore gaiement la porte du frigo ou les WC ... Méa culpa, on n'a pas beaucoup fait dans les cartes cet été, un peu parce que le blog donne déjà plein de nouvelles (bien plus détaillées) et de photos (beaucoup moins moches), et aussi, parce qu'il nous a manqué une chose essentielle pour les cartes postales : n'avoir tellement rien d'autre à faire que l'on se dit "tiens, si j'écrivais quelques cartes, çà m'occuperait ...". Il est vrai que quelques rares privilégiés en on reçu, et quelques autres en auraient reçu si nous n'avions pas oublié de noter leur adresse postale sur notre carnet (vive les emails !)...

En résumé, carte ou non, merci de nous avoir suivi. Le blog reste ouvert, des photos sont à venir, et les commentaires sont toujours les bienvenus !

... plus rien n'arrête les vagues.

L'Océan Pacifique. Le bout de notre voyage.
Au loin, plein ouest, plus une terre avant la Russie.

Voilà, c'est fini, mais le blog continue pendant quelques temps. Au fur et à mesure du tri des quelques milliers de photos que nous ramenons, nous publierons quelques albums photos et quelques liens vers les gîtes qui  nous ont hébergés.

Plusieurs choses sont prévues pour notre dernière étape canadienne, où nous logeront chez Roger et Diana, des cousins de Claire. C'est un peu grace à eux si nous sommes au Canada. C'est en effet avec eux, il y a deux ans en Angleterre que nous avons pris la décision d'effectuer ce voyage.
Il faut dire qu'on en a rêvé de cette île de Vancouver, de ces côtes déchirées, de ces fjords bordés de forêts et de cette fameuse "rainforest", écosystème extraordinaire où se côtoient Douglas Fir et Cêdres Rouges plusieurs fois centenaires.

Un voyage en antique train a vapeur nous ramènera au temps des premières scieries, une industrie encore très active dans ce pays.

Tout au long de notre voyage nous n'avons pas arrêté de croiser, ou d'être doublés par des camions tirant des remorques chargées de tronc et roulant a toute allure sur les highways de Gaspésie ou d'ailleurs. Ils ont remplacé les trains de bois flotté qui étaient transportés par voie d'eau du lieux d'abattage jusqu'à la scierie.
Au début du siècle, les pulperies du Canada et pricipalement de la région du lac St Jean fournissaient de la pâte à papier en France, en Angleterre et aux U.S.A.

Le long des fleuves, on trouve toujours de longs trains de bois, stockés dans l'eau pour les empêcher de se fendre.

A Telegraph Cove, c'est l'industrie florissante de la pêche qui a obligé à la création de la scierie locale, il fallait en effet du bois pour construire les cagettes de bois pour le transport du poisson.
C'est de ce minuscule port de pêche, situé sur la côte nord-est de l'île que nous ferons notre excursion à le recherche des orques, les fameuses baleines tueuses.

C'est en naviguant au milieu des îles qui peuplent le détroit de la Reine Charlotte, que nous admireront ces animaux fabuleux. Nous en profiterons aussi pour apprendre qu'il existe plusieurs catégories d'orques autour de Vancouver Island et que seule une minorité peut être appelée "Whale Killer".

Un orque mâle reconnaissable à sa nageoire dorsale qui peut atteindre 2m de haut.

Il y a au Canada des tas de choses sympas dont on ferait bien de s'inspirer par chez nous. Par contre, s'il y a bien une chose qu'il ne fait pas bon être, c'est famille nombreuse. C'est a dire, selon nos critères avec au moins 3 enfants.

Les musées et attractions proposent rarement des tarifs pour enfant et quand il y a un tarif famille, il concerne uniquement 2 parents et 2 enfants en comprenant une entrée gratuite pour un enfant, c'est à dire 50% de réduction pour les enfants. Le troisième enfant et les suivants devront payer une place au tarif complet, ce qui ramène la réduction a 33% avec 3 enfants et 25% avec 4.

C'est ce qui nous est arrivé la plupart du temps, dont à l'aquarium de Vancouver, présenté comme un des plus beaux d'Amérique du Nord, voire du monde.

Il est idéalement situé au coeur du Park Stanley a l'extrémité est de downtown Vancouver, le centre de la Ville. Mais a part ça, le bassin des dauphins et celui des bélugas, le centre Nausicaa de Boulogne sur Mer nous semble bien mieux. Plus de place pour circuler dans les salles, et surtout il nous a semblé que les animaux avaient plus de place chez nous. Vancouver doit aussi être beaucoup plus ancien aussi, ceci expliquant cela.

Cela ne nous a pas empêche d'admirer le ballet des dauphins et la danse des méduses ainsi qu'une loutre de mer qui nous a offert un spectacle hilarant en faisant sa toilette.

Après avoir réglé les problèmes d'hôtel pour 5, nous avons été confronté à un nouveau défi a Vancouver ou aucun taxi ne prend plus de 4 passagers ! Prendre deux taxis pour rejoindre l'agence de location de voiture revenant trop cher, nous avons fait appel a une société de service conduisant des personnes du centre-ville jusqu'à l'aéroport. Ces sociétés ne sont pas soumises aux mêmes régulations que les taxis et possèdent des véhicules qui peuvent accueillir plus de 4 personnes pour à peine 1 fois et demi le prix d'un taxi classique.

Famille nombreuse attend taxi devant son hôtel.

Nous avons regretté de ne pas être 6 ou 7 lorsque nous avons vu arriver notre "taxi". Vous vous souvenez de la Lincoln Town Car que nous avions à Québec ? Nous avons fait encore mieux :

La Lincoln Town Car 'Limo" !

Bon OK, on se la pete un peu, mais on n'aura certainement plus l'occasion de refaire ce genre de truc.

Un upgrade plus tard (Avis nous file une Buick Lucerne tout confort à la place de la Chevrolet Impala initialement prévue) nous embarquons a Horseshoe Bay pour ce qui sera la dernière étape de notre voyage au Canada : Vancouver Island.

L'arrivée au port de Nanaimo.

Après Jasper, nous continuons notre périple dans les rocheuses en repartant plein sud vers le Parc National de Wells Gray, notre prochaine étape près du village de Clearwater.

Nous longeons la Blue River pendant quelques kilomètres, et nous décidons de nous arrêter pour une excursion en bateau rapide au coeur des Monashee Mountains, dont nous apercevons  les sommets recouverts de glace. En regardant la carte, on se rend compte que nous ne sommes finalement pas si loin des champs de glace de Columbia.

Et nous voila embarqués pour une croisière inoubliable.

Au bout de quelques minutes de navigation, nous distinguons sur la berge un jeune ours noir qui disparait sous les frondaisons de la forêt. Zut ! A peine eu le temps de l'admirer correctement. Ce n'est pas grave, il nous suffit de nous retourner pour voir une femelle sortir de son bain et longer le rivage dans notre direction. Nous allons la suivre ainsi pendant de longues minutes silencieuses, chacun admirant la bestiole se mouvoir délicatement dans les fourrés. Attention quand même, sous ses airs balourds, l'ours noir peut courir aussi vite qu'un cheval et nage également très bien. Mieux vaut donc éviter de le mettre en colère lorsqu'on le croise.

Nous continuons la route vers Clearwater, et le paysage commence à changer, les montagnes escarpées se transforment en un paysage alpin et nous croisons les premiers ranchs d'altitude qui élèvent du bétail. Avec le paysage, la végetation change aussi, les forêts ne sont plus uniquement composées de résineux, mais quelques feuillus comme l'érable a grande feuille font leur apparition. Aprèes cette route, la piscine du camp est très apreciée des enfants (et aussi des grands), et la laverie, de Claire.

Le lendemain doit être consacré au Parc Wells Gray. Le parc est un des plus sauvages du Canada, et pourtant un des moins visités. Les gens se consacrent surtout aux Parcs de Jasper et de Banff. Nous commençons par une balade autour de la chute Helmcken, 142 mètres de hauteur ! Au fond, on distingue le pot de grand-mère formé par le tourbillon des sédiments qui frotent sur la roche, balotés par l'eau qui tombe, créant ainsi ces énormes marmites de pierre jusqu'à ce que le niveau de l'eau monte et passe par dessus le bord, permettant ainsi au torrent de reprendre son cours.

Nous empruntons le sentier qui longe la falaise pour une heure de marche. La forêt est encore humide et ses odeurs viennent nous chatouiller les narines. Sommes nous trop bruyants ou malchanceux, notre route ne croisera celle d'aucun animal sauvage a part quelques oiseaux et quelques écureuils (une variété de Minou-minou peu farouche selon Nathan). Les paysages sont par contre toujours aussi sompteux. Plusieurs dizaine de mètres sous nos pieds, dans la vallée que nous surplombant, des rivières se rejoignent. Tous ces endroits préservés, restés à l'état sauvage peuvent sembler identiques, mais chacun  possède son charme unique et nous restons longtemps à les contempler avant de nous décider a repartir.

Après la pluie, la canicule. Pendant que nous essuyions quelques averses, l'est du pays souffrait de la canicule, obligeant le gouvernememt de Colombie Britanique à interdire les feux de camps. Plusieurs incendies se sont déclaré et ont dévasté plusieurs hectares de foret. La ville de Lilloet à du être évacuée et la route 99 vers Whistler est coupée. C'est justement celle que nous devions prendre pour rejoindre notre dernière étape avant Vancouver. Il faut donc trouver un plan B ! Au lieu d'aborder Vancouver par le Nord, nous arriverons par l'Est, et c'est à Harrison Hot Springs que nous passerons notre dernière nuit en camping-car.

Auparavant, la journée nous aura permis de découvrir de nouveaux paysages. Après des décors dignes du "Dernier des mohicans", ceux que nous traversons auraient pu figurer dans de nombreux westerns de John Ford. Plaines et montagnes désertiques, arides, traversées par des torrents a l'eau limpide dans laquelle nous nous empressons de nous rafraichir.

Le paysage change encore avant d'arriver à Harrison Hot Springs, il redevient plus vert, mais toujours aussi montagneux. Nous avons quitté les Rocheuses pour l'épine dorsale côtière.

Et nous voila arrivés a Vancouver, la grande ville de l'ouest, qui organisera l'an prochain les J.O. d'hiver.

Non, nous ne sommes pas a New-York mais bien à Vancouver !

Après les faubourgs résidentiels de la ville, c'est une tout autre forêt qui nous attend, une forêt de verre et d'acier...

... mais notre voyage ne s'arrête pas la, nous pouvons encore aller plus a l'ouest. Vancouver Island sera notre ultime étape.

Galigou s'éclate, tranquille à la maison.

Bon, ben c'est pas une mince affaire de poster quelques articles. Déjà dans les montagnes rocheuses on peine un peu à trouver du WiFi, c'est vrai que caribous et wapitis ont peu l'occasion de s'en servir, et quand on trouve une connection correcte, il faut qu'elle s'éteigne avant le temp imparti. Grrrr... donc encore un message sans photos que je mettrai à jour dès que j'aurai accès à un ordinateur digne de ce nom.

Nous en étions restés à Calgary, où après nos retrouvailles avec Stéphane nous avons pris possession du "sunseeker", le camping car dans lequel nous allons traverser les rocheuses canadienne jusqu'à Vancouver. Après avoir laissé les dernières plaines dans notre rétroviseur, nous avons entamé notre première étape vers Lake Louise à environ 200km.

Notre camping car, 26 pieds de long, 6 places dont un grand lit dans une chambre séparée au fond.

Les dernières plaines a l'ouest de Calgary.

Nouvel environnement qui contraste avec ce que nous avons pu voir au Québec. Des sommets enneigés, des crêtes au profil déchiqueté, des flancs des montagne recouverts d'un camaïeu de vert et des torrents à l'eau limpide qui brillent sous un soleil éclatant.

Et voila, premières visions de ces montagnes mythiques.

Nuit et réveil sous un sommet recouvert d'une calotte de glace d'une épaisseur qui laisse songeur. 20 ? 30 mètres ?

La vue depuis notre camping  a Lake Louise, sympa non ?

Notre première ballade sera sous les frondaisons d'épineux qui surplombent le lac. Pendant la montée sur le sentier nous apercevons entre le vert des épines le bleu turquoise du lac en contrebas avant d'arriver au belvédère qui dévoile un panorama majestueux sous nos yeux. Les plus courageux sortiront de la forêt pour s'aventurer surs les pentes ardues vers un col quelques centaines de mètres plus haut.

La descente vers le lac et l'hôtel de luxe qui est installé sur ses rives (géré par la chaîne Fairmont qui possède aussi le château Frontenac à Québec) est moins dure. Autant le Frontenac est bien intégré dans le vieux Québec (c'est l'ancienne résidence des gouverneurs aussi !), autant les abords de l'hôtel du lac Louise font penser à Disneyland avec ses hordes de touristes qui ont tous une bouteille de Pepsi à la main. Oui, au Canada la bataille du cola semble avoir été remportée par Pepsi largement majoritaire dans les rayonnages des magasins et les débits de boisson. En plus l'architecture du bâtiment n'est pas des plus heureuses et l'ensemble fait penser à une verrue posée au milieu d'un paysage enchanteur.

Non, vraiment, on préfère cette vue la, sur le lac et le glacier Victoria au fond.

Heureusement il suffit de faire quelques pas pour s'en éloigner et se retrouver plus tranquille sur le chemin qui longe la rive du lac vers son autre extrémité, le long duquel oiseaux et écureuils se relayent pour nous régaler les yeux autant que le panorama.

Le bout du lac, plus loin, on peut encore s'approcher du glacier.

Le lendemain, nous prenons la route vers Jasper, encore plus au nord. Il nous faut 2 heures pour faire les 80 premiers kilomètres. Pas à cause de problèmes de circulation, mais à cause des haltes à répétition que nous faisons pour admirer ici un lac, ici une rivière ou encore une langue de glace descendant des plus hauts sommets. Il faut dire que nous sommes sur la Icefield Parkway, la route des glaciers qui longe le Columbia Icefield Park. Notre arrêt principal de la journée est d'ailleurs prévu au champ de glace d'Athabasca.

Tout au long de la journée, des paysages tels que celui la se succèdent sous nos yeux.

Là encore petite ballade qui nous mène jusqu'à la limite du glacier où il est interdit de se rendre à cause des crevasses, ce qui n'empêche pas plusieurs inconscients en sandale et short d'y aller pour s'y faire prendre en photo. Les mises en garde sont plutôt nombreuses, expliquant qu'une rivière souterraine court sous la glace en en fragilisant ainsi la couche. Cette eau qui sort donne naissance à la rivière Athabasca que notre route va longer jusqu'à Jasper.

A force de serpenter ainsi dans la montagne elle a fini par creuser la roche à certains endroits et former des chutes impressionnantes.

Notre arrivée à Jasper se passe sous les meilleurs augures. A peine arrivés en ville nous croisons un couple de wapitis tranquillement installés entre la route principale et la voie ferrée, à peine sensibles aux touristes qui s'arrêtent pour les prendre en photo. A croire qu'ils sont payés par le syndicat d'initiative de la ville. Nos courses terminées, c'est un coyote que nous croisons près du passage à niveau à quelques mètres des premières habitations. Nous en verrons un autre le lendemain, au milieu du camping se promenant tranquillement entre les emplacements.

Arrivés au camping, nous faisons connaissance avec nos voisins, une colonie de petites marmottes et plusieurs écureuils. Ils évoluent autour de nous, curieux et s'approchant à courte distance de nous. Il ne faut vraiment qu'un geste brusque et malheureux pour les faire s'enfuir dans leurs terriers dont nous devinons les galeries courir sous nos pieds. Ils se régaleront des céréales que Marie a fait tomber pendant son petit déjeuner.

La pleine journée du lendemain est consacrée en premier lieu à l'exploration du mont Whistler, au sommet duquel nous nous rendons en téléphérique. 7 minutes de voyage pour combler un dénivelé de presque 1000m et nous retrouver à 2200m. Le sommet à 2400 sera atteint par Claire, Stéphane, Nathan et Simon après 45mn de marche. De là haut, vue majestueuse sur Jasper et les nombreux lacs qui l'entourent.

C'est d'ailleurs sur les rives du lac Annette que nous pique-niquons et que les enfants ont le courage de se baigner dans les eaux claires mais froide (un peu trop pour un certain N.).

Nous terminons cette journée par ce qui sera, nous le pensons, une rapide promenade au canyon Maligne. Nous passons finalement une bonne heure à admirer le travail effectué par la rivière au fil des millénaires, un canyon atteignant à certains endroits 50m de profondeur et seulement 80cm de large.

Tous ces paysages grandioses rappellent comment a du être dure l'exploration de ces territoires par les premiers pionniers qui voulaient rejoindre l'ouest. Bloqués par la nature, ils se sont installés dans les vallées, au bord des rivières et ont fondé ces petites villes qui émaillent notre itinéraire.

La phrase du jour : "Il a le même goût que celui d'hier, mais il est moins bon !" (Simon en buvant son jus de raisin).

A suivre : la ballade en bateau sur la Blue River à la recherche des ours noirs et la ballade dans le parc Wells Gray et sa fameuse chute d'eau de 141m.